Jadis auréolées de pouvoirs magiques, deux pierres percées se dressent à Traves et à Aroz. Témoins de la présence humaine au Néolithique, elles sont les vestiges d’une sépulture ou monument funéraire et permettaient de séparer le couloir, de la chambre mortuaire.
Quant au trou, réalisé par l’homme, il a de multiples significations. La plus plausible reste celle du passage des âmes des défunts vers l’au-delà.